Robert Le Plana – Nuances urbaines

(Nouvelles / 2023)

Couverture du recueil de nouvelles Nuances urbaines de Robert Le Plana

Nuances urbaines nous invite à découvrir des tranches de vie d’habitants divers et variés d’une ville anonyme dans un futur proche.

C’est tout ? Oui et non. Oui, parce que cette phrase est un résumé qui vaut ce qu’il vaut des six nouvelles de ce recueil. Non, parce que ce résumé occulte l’incroyable qualité à la fois des six textes et de l’ensemble.

J’ai adoré lire Nuances urbaines !

Robert Le Plana a écrit six histoires palpitantes que je n’ai pas pu lâcher une fois que je les avais commencées. Ces nouvelles et l’écriture de Robert Le Plana renvoient à l’Âge d’Or de la science-fiction. Pas aux rencontres avec des extra-terrestres ou aux voyages dans l’espace, mais aux autres textes de cette époque bénie, ces récits captivants qui auraient presque pu se dérouler de nos jours, mais seulement presque. À un détail près qui change ABSOLUMENT tout. À ce détail près qui fait toute la différence. Ce détail qui fait frissonner, qui affiche un grand point d’interrogation au-dessus de nos têtes, qui fait sourire parfois, qui ralentit notre respiration, qui interroge même après la lecture. Nuances urbaines s’apparente à une suite de ces nouvelles d’une autre époque, comme Black mirror peut être vu comme une suite de La quatrième dimension ou de Au-delà du réel. Robert De Plana plonge le lecteur dans cette ville mais aussi dans les nuances de l’âme humaine.

Le génie de Robert Le Plana a été de lier ces six nouvelles, ce qui a changé ma manière d’aborder ce livre. Je m’explique. Alors que j’apprécie de picorer dans un recueil de nouvelles en lisant des livres en parallèle et en faisant ainsi durer longtemps un recueil standard, j’ai lu ce Nuances urbaines comme un roman (parce que j’avais compris en lisant des avis élogieux sur ce livre que les nouvelles étaient liées). Je l’ai dévoré en trois soirs. Ce lien, original et réussi et qui m’a aussi rappelé la construction de certains chefs-d’œuvre du fameux Âge d’Or, ajoute une grosse couche de plaisir de lecture supplémentaire. Bravo Robert Le Plana, je me suis régalé !

L’auteur et son œuvre

Nuances urbaines est le premier livre publié par l’auteur suisse Robert Le Plana.

À découvrir aussi (clic sur le titre pour en savoir davantage)

D’autres lectures
Daniel Keyes – Des fleurs pour Algernon
Joyce Maynard – Où vivaient les gens heureux

Mes écrits
Ainsi a-t-il été
Mieux vaut très tard que jamais
39 hommes en galère
l’R de rien
J’ai couché
Un instant d’égarement

Me contacter
Me suivreInstagram Claude Griesmar

Facebook Claude Griesmar

Partager

JOUR J : Publication de mon roman « Un instant d’égarement » !

La Collection du Chat Noir s’enrichit d’un sixième livre, un roman, le marron : Un instant d’égarement.

Un huis clos !

Bonne lecture à celles et ceux qui s’aventureront dans l’ascenseur. J’espère que vous prendrez autant de plaisir à lire Un instant d’égarement que j’en ai pris à l’écrire.

La quatrième de couverture et tous les détails, en cliquant sur la couverture :

Couverture du roman Un instant d'égarement de Claude Griesmar

Merci pour votre confiance et pour vos messages d’encouragement.

La Collection du Chat Noir ajoute un fleuron à ses idées cadeaux. N’hésitez pas à vous le faire offrir et à l’offrir.

Vos avis Amazon, Babelio, Goodreads sont précieux !

Si vous appréciez mes livres, faites-le savoir sur vos réseaux et autour de vous !
Vous êtes ma meilleure carte de visite.

Me contacter
Me suivreFacebook Claude Griesmar

Instagram Claude Griesmar

Partager

Un instant d’égarement : première réaction + première chronique

Première chronique de Un instant d’égarement, rédigée par une fidèle lectrice du Chat Noir :

« Il a récidivé ! Le créateur d’OVNI littéraires nous entraîne cette fois-ci dans un huis clos aussi fascinant qu’étouffant. Un huis clos où les secrets se distillent lentement laissant place à une véritable toile psychologique. Au cœur de cette troublante affaire ? Une femme, fermement décidée à intenter un procès contre un homme — agresseur ou ancien amant ? La vérité se dissimule derrière une multitude de masques et de faux-semblants, et c’est dans un ascenseur, figé par le temps et la peur, que le récit commence. Dans ce petit espace où chaque geste et chaque mot deviennent … incandescents.

À travers ce bras de fer où le mental prime, l’auteur se joue des interprétations, et des malentendus qu’ils entraînent pour mettre le doigt sur les failles pernicieuses des relations humaines. Le roman pose notamment cette question brûlante : qu’en est-il des vérités que l’on construit de toutes pièces pour se façonner une identité factice ? Ces pseudo-vérités deviennent-elles prisons, tremplins, exutoires ? Parviennent-elles seulement à survivre à la réalité ?

Si le lecteur se sent déjà oppressé par toutes les interrogations si proches du quotidien, de notre quotidien, qu’en est-il face au poids du regard de l’autre, omniprésent dans les pages de ce roman ? Qu’en est-il de ces miroirs qui dissipent le mensonge et confrontent les protagonistes à ce qu’il y a de pire de plus vrai en eux ? L’auteur parvient à se jouer des codes des journaux à scandales pour offrir une véritable sociologie de la rumeur, une thérapie du couple sourd, une caricature de la relation qui n’a jamais su véritablement se rencontrer, qui n’a fait que se manquer dans les méandres du paraître.

Et puis, vient le moment de la révélation …

Entre audace, indignation, rire et incompréhension, oserez-vous vous perdre entre les quatre murs de ce roman aussi captivant que glaçant de lucidité ? »

Couverture du roman Un instant d'égarement de Claude Griesmar

Et je partage ici volontiers avec vous l’échange de courriels que j’ai eu avec ma correctrice le lendemain du jour où je lui ai envoyé Un instant d’égarement :

«

Elle :
Ah, je ne te félicite pas de me l’avoir envoyé le soir et je ne me félicite pas non plus de l’avoir découvert après minuit et d’avoir voulu en lire « un peu » avant d’aller me coucher !
😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀 😀

Moi :
😀 😀 😀 😀
T’as été loin ?!?

Elle :
Je l’ai terminé !

Moi :
😳
Alors ? 😮 😮 😮 😮

Elle :
A ton avis ? Pour que je le finisse d’une traite ?!

Moi :
Alors, tu valides ?

Elle :
Et comment ! C’est excellent !!!
Ça fonctionne sacrément bien !

Moi :
MERCI !!!!!! 😀 🙂 😀 🙂 😀

»

Deux premiers retours, deux grands bonheurs ! 

Si vous ne connaissez pas encore ce livre, vous le trouverez ici :

Commander en format papier
Commander en format numérique
Acheter en librairie, Au Bonheur des Livres (Strasbourg)

Si vous appréciez mes livres, faites-le savoir sur Amazon, sur vos réseaux et autour de vous !
Vous êtes ma meilleure carte de visite.

Me contacter
Me suivreFacebook Claude Griesmar

Instagram Claude Griesmar

Partager

« Un instant d’égarement » : extraits + précommande

Deux nouvelles informations à propos de mon nouveau roman publié le 6 novembre.

Les précommandes sont ouvertes pour les ebooks, alors n’hésitez pas à prendre de l’avance si vous préférez lire des kindle que des livres papier !

Voici quatre extraits de ce huis clos :

« Elle fonce dans les couloirs, les yeux baissés. Elle n’a pas envie de croiser des regards. Des regards condescendants qui se posent sur cette moins que rien. Des regards compatissants qui la prennent en pitié. Des regards où perce le doute. Des regards emplis de haine. Des regards méprisants. Des regards indifférents. Des regards envieux de gros porcs qui rêvent de la sauter. Des regards solidaires de féministes combattantes. Des regards de compréhension ou d’incompréhension. Des regards qui la transpercent, qui la mettent mal à l’aise. »

« Les secondes s’égrenèrent. Les minutes. Il imaginait de minuscules grains s’écoulant dans le sablier géant du temps. Chaque seconde passée était perdue. Aucune ne reviendrait. Le temps se fichait des avatars des uns et des autres, des siens. Il avançait, avec une régularité effrayante. Il broyait tout sur son passage. Il accueillait les naissances, vieillissait les êtres, les transformait en poussière. Dans un cycle sans fin. En maître de l’infiniment petit, des roches, des plantes, des créatures, des planètes, des étoiles, des galaxies. En maître de l’univers. Dans un but connu de lui seul. »

« Se bercer d’illusions guérit bien des maux. Un temps. »

« L’amour, en-dehors de l’aspect physique, animal, guidé par l’instinct millénaire de la survie de l’espèce, n’est-il donc qu’un concept, une idée à laquelle on s’accroche pour trouver un apaisement, une forme de sérénité, un refuge, des repères, un rôle à jouer au milieu de ces millions d’autres individus lancés dans la même course insensée de l’existence ? »

Pour en savoir plus, commandez votre exemplaire papier de Un instant d’égarement dans 10 jours ou l’ebook kindle dès maintenant pour être prêt le Jour J si vous êtes plutôt liseuse que papier !

Couverture du roman Un instant d'égarement de Claude Griesmar

« Un instant d’égarement » : quatrième de couverture !

Deux nouvelles informations à propos de mon nouveau roman publié le 6 novembre.

Un instant d’égarement est un huis clos !

Et voici sa quatrième de couverture :

Quatrième de couverture du roman Un instant d'égarement de Claude Griesmar

La Justice a tranché. Un homme et une femme que tout oppose n’ont plus le droit de s’adresser la parole jusqu’au verdict. Le hasard s’en mêle et les enferme dans un ascenseur.

Entre duperies et dialogues de sourds, la cohabitation forcée s’avère compliquée. Une réconciliation semble improbable, un étripage contreproductif mais prévisible. Dans l’espace exigu, le danger porte différents masques. Qui sera le plus à craindre ? L’autre ? De mystérieux terroristes ? Ou de vieux démons qui s’invitent dans les têtes fatiguées ?

Un huis clos éprouvant qui pourrait se terminer en une ultime farce cruelle : mourir en compagnie de son meilleur ennemi.

À bientôt pour des extraits !

Ainsi a-t-il été : 5 avis supplémentaires

Au travers du destin d’une famille du XIXème siècle, Claude Griesmar nous emporte dans une épopée haletante, une course vers un avenir meilleur émaillé d’épreuves et d’aventures. La plume travaillée de l’auteur dépeint avec justesse des personnages si marquants que je les emportais avec moi en refermant mon livre et que je les retrouvais avec joie en reprenant ma lecture.

C’est un roman dense, fourni, où les évènements s’enchaînent avec brio, nous laissant pantelants à chaque fin de chapitre. J’ai tourné chaque page avec avidité, impatiente de connaître le fin mot de l’histoire pour ces personnages aux destinées déconcertantes. À leurs côtés, on sursaute, on s’indigne, on pleure, on rit, on s’interroge.

Car c’est là toute la force en filigrane qui se dégage de ce roman : Claude Griesmar y dénonce la ségrégation et le racisme, les violences faites aux femmes et les inégalités entre les sexes, la culpabilité réelle et celle qu’on s’invente ; il illustre avec justesse les liens familiaux et ce que la religion peut faire ressortir de plus beau et de plus abject chez l’être humain ; mais surtout, il fait la part belle aux valeurs humanistes et aux discours de respect et de lutte contre les discriminations.

Ce roman illustre le pouvoir de la littérature : par la fiction, un auteur peut rendre vivant une lutte, un message, des valeurs.

Si vous aimez les romans historiques inspirants et engagés, n’hésitez plus : « Ainsi a-t-il été » saura combler toutes vos attentes !

Cecile CANDIAGO
On est au dix-neuvième siècle, aux États-Unis.
Ainsi a-t-il été raconte l’histoire étonnante d’Anna Flanagan, dont la vie est marquée par l’isolement absolu de sa famille, et de sa rencontre avec Tom Doe, jeune orphelin noir aux perspectives inexistantes. Il y est question de famille, de ségrégation, d’exil, de survie, de croyances, de liberté aussi.
Ce roman est une saga, l’histoire de toute une vie, dans un univers que Claude Griesmar dépeint à merveille. C’est pour moi sans hésitation la plus grande réussite de ce roman : nous emmener dans une époque et un lieu inconnus, créer un univers complet, précis, implacable, dans un effet de réel aussi envahissant pour nous qu’il l’est pour Anna et Tom.
Ajoutez à cet univers si particulier une écriture riche et fluide, une syntaxe travaillée mais jamais compliquée, le goût du mot juste, des personnages denses et cohérents, des scènes fortes et touchantes, et vous aurez là un excellent roman qui vaut sans conteste le détour ! 👏👏👏
Vous avez compris, je vous le recommande !
Chloehestia
Des retours en arrière très appréciables qui permettent un approfondissement des personnages 👨‍🌾👩‍🏫👨‍🔧 et de leur histoire.

On pourrait s’attendre à des longueurs avec autant de pages 📄 (plus des 500) mais non, aucune !! Il se passe toujours quelque chose. le récit proposé par Claude Griesmar est d’autant plus prenant qu’il est écrit à la première personne et est construit avec des chapitres très courts.

L’auteur est doté d’une plume ✒️ fluide, percutante, précise qui nous fait engloutir les pages avec avidité.

Immergé dans le XIXe siècle, Claude Griesmar abordent de nombreux thèmes tels que la religion ⛪, l’éducation, la mort ☠️, le racisme, la famille 👨‍👩‍👧‍👦 et bien d’autres, avec beaucoup d’émotions, qu’il sait, avec un savoir-faire impressionnant, nous communiquer.

Un roman qui vous fera rire 😂, pleurer 😭, haïr 😡, aimer 😍 ! En un mot, un roman 📗 qui vous fera détester et aimer la vie en même temps.

Un de mes coups de coeur ❤️ de l’année, à lire absolument !!!

MandyM
En Amérique, au 19ème siècle, vit la famille Flanagan. La petite famille vit à l’orée d’une forêt, reculée de toutes formes de civilisation ; toutes les formes de civilisation. En cause ? le père de famille qui tente par le scrupuleux respect des Douze Commandements de Dieu d’éloigner une terrible malédiction de son foyer. Loin de ces idéaux religieux, Tom Doe, un personnage confronté à l’impitoyable réalité des orphelinats, s’emploie, par son génie qu’il tente de dissimuler, à déjouer la loi du plus fort. Anna Flanagan nous conte dans ce roman, de quelle façon ce singulier orphelin et elle-même se retrouveront pris dans des drames, des sacrifices, des remises en question. Anna Flanagan nous explique comment ils survivront, eux, ceux qu’ils aiment et tout ceci en tentant de se raccrocher à leurs croyances, leurs espoirs et surtout, à leur vie. Ce roman mêle à la fois dureté et péripéties plus qu’émouvantes. Il remet en cause bien des thématiques dont la famille et son influence, le racisme, la condition féminine de l’époque ou encore la religion tout ceci à travers un récit rythmé par des bouleversements où le lecteur ne saurait reposer le livre sans en lire jusqu’à la dernière page.
Florence ENDT
5,0 sur 5 étoiles un voyage dans le temps Avis laissé en France le 11 octobre 2022
J’ai adoré l’histoire et ai lu ce roman en un temps record. Personnages attachants, rebondissements et très belles descriptions permettent une immersion rapide dans une autre époque. A lire absolument.

Merci à vous d’avoir osé « Ainsi a-t-il été » !
Couverture du roman Ainsi a-t-il été de Claude Griesmar

Si vous ne connaissez pas encore ce livre, vous le trouverez ici :

Commander en format papier
Commander en format numérique
Acheter en librairie, Au Bonheur des Livres (Strasbourg)

Si vous appréciez mes livres, faites-le savoir sur Amazon, sur vos réseaux et autour de vous !
Vous êtes ma meilleure carte de visite.

Me contacter
Me suivreFacebook Claude Griesmar

Instagram Claude Griesmar

Partager

J’ai couché : 6 avis supplémentaires

abazinjama
Énormissime coup de ❤!Je n’ai pas de mot, ou plutôt trop de mots pour décrire cette invraisemblable découverte !

J’ai d’abord craqué pour le titre : simple, cash, prometteur. Comme souvent, ce que j’ai découvert à l’intérieur ne correspond pas du tout à ce que j’imaginais. Premier bon point. L’histoire, particulièrement originale d’une gagnante d’un télé crochet très réputé, racontée par son agent artistique et amant m’a accrochée dès le départ et jusqu’à la fin, tellement inattendue ! 2e bon point
Plus que le fond, déjà génial, c’est la forme qui me laisse sans voix, admirative, avec du mal à enchaîner sur le prochain… Pluie de bons points
La plume et le style de cet auteur sont à découvrir absolument ! Une dentelière et un boxeur ont du s’associer dans sa tête pour lui permettre de coucher un texte d’une telle qualité ! le rythme est rapide, le langage est à la fois cru et élaboré, l’utilisation des mots est juste parfaite !
Ce roman fait partie de ces livres que j’ai envie de lire à haute voix pour laisser danser les les mots sur les lèvres. Rares sont les auteurs qui me coupent à ce point le souffle, rien que par la force de leur plume !
Et j’ai oublié de parler de cet humour ! le second degré que j’aime tant. Encore un bon point ! Un humour qui fait tout passer, qui dénonce… grinçant, sarcastique, tendre parfois…
Ce livre est destiné aux lecteurs éclectiques, aux amoureux de la langue française et de ses mots, à ceux qui aiment rire, être surpris, sortir de leur zone de confort… Bref, à beaucoup de monde.
Découvrez cette pépite, elle mérite un énorme succès !

R’hic
5,0 sur 5 étoiles Il a couché !  Commenté en France le 12 juillet 2024
« J’ai couché » de Claude Griesmar offre une plongée fascinante dans le monde impitoyable du showbiz.
On découvre les différents aspects de la vie de de Daniela, lauréate d’un télécrochet à travers Marc-Antoine qui est son ex-compagnon.
On découvre une histoire riche et complexe, pleine d’humour et de surprises.
A recommander !

Les livres d’Adeline

Autant vous dire que nous avons là un roman atypique, désopilant, qui bouscule les convenances… En somme, un ovni qui fait du bien parmi tous ces écrits formatés.
Le personnage principal, Marc-Antoine, ou MA pour les intimes, est tout sauf l’image du héros parfait. Cet agent artistique au langage cru et irrévérencieux aime le luxe, les soirées mondaines et « profiter de la vie ». Il a toujours vécu dans l’opulence et ne comprend pas qu’il existe un autre monde, avec gens plus modestes, moins artificiels… Il est l’archétype même du « gars du showbiz ».

Et puis, il y a Daniela, sa « compagne » et gagnante d’un télé-crochet. Elle est tous ces artistes, qui rêvent, à tort ou à raison, de devenir des grands.

Avec ce livre, Claude Griesmar nous offre une critique acerbe de notre monde, à travers celui du show-business. Il décortique l’être humain et ses travers, sa volonté d’être « riche et célèbre ». Toutes les facettes de notre monde sont décryptées par l’œil incisif de Marc-Antoine, qui observe Daniella.

Il ne faut pas oublier la construction même du livre, qui sort de l’ordinaire. Les chapitres de narration sont entrecoupés par des sortes de lettres, écrites par une tierce personne… On est d’abord dérouté, puis intrigué… et… je n’en dis pas plus…
Certes, ce roman n’est pas à mettre entre toutes les mains, surtout celles des plus jeunes, mais il fait du bien, car il ose sortir des sentiers battus, nous offrir quelque chose de nouveau.

Et que dire du dénouement ? Je ne veux rien révéler ici, mais je n’ai qu’un mot à dire à l’auteur : « Bravo ! ».

En somme, je ne peux que vous conseiller de lire J’ai couché, si vous avez envie de vivre une expérience de lecture nouvelle, qui vous fera rire, vous touchera, et vous amènera à réfléchir…

Naomisp

Drôle parce que l’on rit, mais aussi drôle par son étrangeté.

S’il fallait la classer dans un genre, je crois qu’il faudrait l’inventer. Car oui, « J’ai couché » est à mes yeux un OVNI littéraire, à des années-lumière des codes littéraires.

J’ai cette impression qu’ici, l’auteur a inventé une sorte de satyre des temps modernes. de sa plume aiguisée et son humour décalé, il balance sur les télécrochets, sur la jeunesse dépravée, sur le succès, la gloire et ce monde qui ne tourne pas bien rond.

Ça commence avec ce personnage principal que l’on adore détester. Cette histoire qu’il nous raconte, comme s’il était en face de nous. Sa parole est hautaine et méprisante. C’est celle d’un homme qui pense tout avoir, mais qui finalement n’a rien.

Il n’y a pas non plus de suspens, on avance d’un chapitre à l’autre en se demandant quelles informations nous allons découvrir, mais… Il n’y a pas tellement de suite logique. On pourrait tout aussi bien les lire dans le désordre. Rien n’est linéaire, tout est circulaire. J’ai trouvé cette méthode d’écriture très intéressante !

Puis la fin rejoint le début et la boucle est bouclée. Et quelle fin !

Bref, si vous êtes en quête d’une histoire qui vous sortira des sentiers battus, je ne peux que vous conseiller cette lecture très originale !

Mélanie Delasausse
J’ai découvert la plume de Claude Griesmar avec son roman « L’R de rien ». J’avais notamment aimé la finesse de son style, son humour piquant et ses personnages haut en couleur.
Est-ce que j’ai retrouvé ça dans « J’ai couché » ? Oh que oui !
Claude signe avec « J’ai couché » un roman détonnant d’une grande originalité.
Au menu : des scandales à gogo, un narrateur arriviste, séducteur pathologique et menteur notoire qui s’épanche sans aucun complexe sur sa vie de débauche et nous dévoile sans tabou l’intimité de cette star de télé qu’il se vante d’avoir mis dans son lit.
Bref, un narrateur qu’on adore détester !
Il ne nous épargne rien… et on en redemande, parce que Claude titille nos vilains penchants inavouables, à commencer par notre curiosité un peu malsaine pour les potins de bas étage.
Les péripéties sont nombreuses, souvent farfelues, et toujours drôles. Le genre de péripéties qui fait se demander : Mais où va-t-il chercher tout ça ?!
J’ai tout spécialement adoré retrouver l’humour grinçant qui m’avait déjà plu dans l’R de rien, et je me suis régalée !
Jouissif, irrévérencieux à souhait, ce livre est clairement à la hauteur de son titre provocateur. (et il réserve en plus une fin étonnante, que personnellement je n’ai pas du tout vu venir !)
Stéphanie
4,0 sur 5 étoiles Un roman original et surprenant! Commenté en France le 2 février 2024
Marc-Antoine nous raconte l’histoire de Daniela, en nous dépeignant sa personnalité sous différents angles.
Il évoque sa famille, son rapport à l’argent, ses peurs, ses croyances…
Il se livre à nous, en partageant ses propres expériences et ses ressentis.
L’histoire est plus complexe qu’il n’y paraît au premier abord. Elle commence par un rythme lent et une intrigue simple, mais elle se transforme progressivement en une histoire plus captivante.
Une conclusion inattendue avec un clap de fin très beau.
Un roman original et surprenant, parfois drôle, émouvant, un beau trompe-l’oeil!
Ce livre m’a fait découvrir la très belle plume de Claude Griesmar.
Merci à vous d’avoir osé « J’ai couché » !
Couverture du roman J'ai couché de Claude Griesmar

Si vous ne connaissez pas encore ce livre, vous le trouverez ici :

Commander en format papier
Commander en format numérique
Acheter en librairie, Au Bonheur des Livres (Strasbourg)

Si vous appréciez mes livres, faites-le savoir sur Amazon, sur vos réseaux et autour de vous !
Vous êtes ma meilleure carte de visite.

Me contacter
Me suivreFacebook Claude Griesmar

Instagram Claude Griesmar

Partager

l’R de rien : 14 avis supplémentaires

Célia C.
Cette histoire pourrait être la chronique ordinaire d’une vie ordinaire : un travail peu enthousiasmant, des collègues sympathiques ou franchement détestables, des voisins bruyants ou qui vous tiennent la jambe pendant des heures, un chien qui aboie et vous réveille et toutes ces petites contrariétés du quotidien. Notre protagoniste, c’est R. Raymond, Robert, Ryan, Rémi… c’est selon. Il affiche une mine policée, aimable, toujours de circonstances. Même s’il n’en pense pas moins (en témoigne son répertoire d’insultes absolument prodigieux !). Au fil du récit commencent à apparaître de petites manies, de petits indices… Qui est R. ? D’où vient-il ? Que cherche-t-il ? La tension monte, lentement, l’air de rien, et le lecteur attend, consentant, de voir où on l’emmène.
Je me suis vraiment amusée avec cette lecture ! (Suis-je sadique ? Possible !) J’ai beaucoup apprécié le côté sournois, jubilatoire, ces petites réflexions que l’on se fait tous tout bas derrière le masque du parfait citoyen. Car qui peut réellement dire qui nous sommes ?
Le coup de maître est d’avoir placé le récit du point de vue de R. On entre dans sa tête, on ressent ce qu’il ressent, on s’agace avec lui… et de façon tout à fait perverse (et assumée !), on attend qu’il agisse ! Véritable exutoire à nos pulsions vengeresses inassouvies (que celui qui n’a jamais eu envie de foutre le poing dans la gueule de son chef ou d’empoisonner le chien du voisin lève la main…), ce roman nous fait passer de l’autre côté du miroir, en douceur, l’air de rien…
Je lirai volontiers d’autres livres de Claude Griesmar ! Sa bibliographie a l’air étonnamment variée et cette première incursion dans l’univers de l’auteur est une réussite !
Stef’
5,0 sur 5 étoiles Un R de mystère Commenté en France le 28 février 2024
Qui est Raymond ? À moins qu’il ne s’appelle Robert? Ou Ryan?
L’auteur se joue du lecteur et s’amuse à brouiller les pistes. Il nous faut attendre la toute fin pour découvrir si l’homme aux allures de gendre idéal est aussi ordinaire qu’il le laisse paraître…
Les personnages secondaires sont croqués avec un humour féroce mais ils sont tous plus vrais que nature et ne peuvent que ressembler aux voisins, collègues, amis qui vous entourent.
Une très belle découverte.
Isabelle L.
5,0 sur 5 étoiles Un petit bijou.. Commenté en France le 11 septembre 2023
Le livre « L’R de Rien » de C. Griesmar est une œuvre exceptionnelle qui nous plonge profondément dans l’intimité de l’âme humaine. Avec une prose captivante, l’auteur explore nos pensées les moins avouables d’une manière à la fois audacieuse et poétique. Ce livre nous pousse à réfléchir sur les côtés sombres de notre conscience tout en nous émerveillant par la beauté de sa plume. Une lecture inoubliable qui vous transportera dans un voyage littéraire unique.
Th.F.
L’enfer est pavé de bonnes intentions, n’est-ce pas. C’est l’histoire d’un type discret, avec une vie banale, a priori tranquille… Enfin. L’auteur nous livre au fur et à mesure du récit ses pensées, souvent dérangeantes, parfois terrifiantes. Passera-t-il à l’acte ou est-il déjà passé à l’acte… Vous ne le saurez qu’en lisant le livre !!! Si vous aimez les mystères et les jeux de piste, foncez !
Elodie Jousselin
4,0 sur 5 étoiles Dérangeant et obsédant Commenté en France le 13 août 2024
C’est un roman à la fois dérangeant et obsédant. On suit le quotidien d’un homme qui fait sa propre justice et c’en est effrayant. Même si on en vient parfois à comprendre certains de ses choix (pas tous, hein !). Ce roman m’a clairement sortie de ma zone de confort. S’il vous intrigue, foncez le lire !
Laure Gombault
4,0 sur 5 étoiles L’enfer c’est les autres Commenté en France le 8 mai 2024
Claude Griesmar n’a pas son pareil pour décortiquer l’âme humaine, ses petites et grandes mesquineries, et cela en s’infiltrant dans tous les milieux. L’R de rien est avant tout une plongée dans la tête d’un personnage complexe, cynique, odieux, qu’il arrive à nous rendre attachant. Là est ce pari audacieux. Son autre atout est de nous narrer un florilège de rencontres aussi caustiques et croustillantes les unes que les autres. Raymond, misanthrope avéré, sous son « R » aimable, ne cesse de dezinguer les uns après les autres ses collègues, voisins et tous les pauvres hères qui fréquentent son chemin. Mais Raymond possède la qualité d’épargner les enfants. Merci Raymond !
Dans ce livre-monde, à travers une foule d’individus (que nous supportons tous), l’auteur nous démontre son grand art de la psychologie. Un roman réjouissant et addictif. Bravo Claude Griesmar !
Billie77
Une plume bien maîtrisée à découvrir.
Mélanie Delasausse
Un roman profondément original, à l’humour noir décapant et au style parfaitement maîtrisé.
J’ai passé un très bon moment aux côtés de ce personnage, banal en apparence, mais qui m’a surprise de page en page en me dévoilant son histoire et ses pensées les plus secrètes. Un roman surprenant, un peu dérangeant, qui fait tantôt rire, réfléchir, bondir, mais qui ne laisse certainement pas indifférent. Un roman qui vaut le détour!
Théodore BOUTROS
5,0 sur 5 étoiles Encore un excellent roman 🙂 Commenté en France le 22 novembre 2022
Encore un excellent roman 🙂
INCROYABLE ! Un homme machiavélique se cache sous une façade sympathique et un bon collègue.
Ce roman est très bien écrit, avec un langage clair, soigneux, et qui parle à tous.
A lire absolument.
MAEDER colette
5,0 sur 5 étoiles Bluffant! Commenté en France le 1 novembre 2022
Bravo, quel personnage !
Sous une façade aimable se cache une personne machiavélique.
L’analyse de caractère très poussée nous entraîne dans les méandres de l’esprit tortueux de Raymond….
Si vous aimez être surpris, à lire absolument.
L.
5,0 sur 5 étoiles Un régal tout en cynisme Commenté en France le 21 octobre 2022
Un livre à mettre entre toutes les mains adeptes d’une touche d’humour noir et désireuses de régler leurs comptes avec le genre humain et ses travers. Une chose est sûre, personne ne restera indifférent ! Entre rire et insurrection, cynisme et procès déguisé de la société, le lecteur se retrouve dérouté devant un protagoniste aussi détestable que fascinant. Ou peut-être le comprenons-nous par instant ? Un « joli » moment littéraire à n’en point douter !
Lys
5,0 sur 5 étoiles Belle découvert littéraire Commenté en France le 21 octobre 2022
Belle découverte, on decouvre un personnage hors du commun malgré des apparences très banales et aux multiples facettes. Le personnage principal pourrait être un de vos proches.
On est tenu en halène tout au long de la lecture avec une chute machavélique.
A découvrir sans tarder.
Sandra
J’étais très impatiente de lire ce nouvel opus de Claude Griesmar, dont j’avais lu toutes les parutions précédentes (on vous recommande vivement « Ainsi a-t-il été »). Comme dans chacun de ses romans, il nous transporte dans la vie d’un personnage surprenant et qui ne laisse pas indifférent.
Le narrateur bouscule son lecteur par la violence brutale des pensées de son personnage principal, ce qui pourra être déstabilisant pour ceux qui ne sont pas sensibles à l’humour noir.
On referme le livre en se demandant s’il est grotesque, comique ou terrifiant. A vous de juger…
Merci à vous d’avoir osé « l’R de rien » !
Couverture du roman l'R de rien de Claude Griesmar

Si vous ne connaissez pas encore ce livre, vous le trouverez ici :

Commander en format papier
Commander en format numérique
Acheter en librairie, Au Bonheur des Livres (Strasbourg)

Si vous appréciez mes livres, faites-le savoir sur Amazon, sur vos réseaux et autour de vous !
Vous êtes ma meilleure carte de visite.

Me contacter
Me suivreFacebook Claude Griesmar

Instagram Claude Griesmar

Partager

Ray Bradbury – Le vin de l’été

(Roman / 1957 / Dandelion wine)

Couverture du roman Le vin de l'été de Ray Bradbury

Tout le monde connaît Chroniques martiennes et Fahrenheit 451 de Ray Bradbury. L’œuvre de cet auteur hors-norme ne se limite cependant pas à ces deux classiques de la science-fiction. Il a écrit des romans, des nouvelles, des pièces de théâtre, des scénarios, de la littérature jeunesse, des essais, de la poésie, en explorant différents genres.

Le vin de l’été, en partie autobiographique, est peut-être son roman le plus personnel. Il raconte l’été 1928 vécu en famille par Douglas Spaulding, 12 ans, à Green Town, Illinois.

Green Town est un double de Waukegan où Bradbury a grandi. Douglas est son deuxième prénom et Spaulding le deuxième prénom de son père.

Douglas grandit. Il partage ses réflexions avec son frère Tom, de deux ans son cadet. Il est émerveillé ou épouvanté par ses découvertes successives au fil des événements de l’été.

Le vin de l’été est un assemblage d’histoires courtes, reliées entre elles par des textes de transition, ce qui confère à l’ensemble la préciosité d’un album souvenir d’un temps révolu, aux plaisirs simples, aux goûts sucrés, aux couleurs flamboyantes, à l’ambiance unique.

La plume de Ray Bradbury fait le reste et ajoute magie et poésie aux mots et aux images.

J’ai été emporté par la douce musique de Bradbury. L’enfant qui découvre qu’il vit. Le même qui prend conscience que rien n’est éternel, que tout le monde finit par mourir. Les soirées à discuter sous le porche. Les repas familiaux. Les amis. Les rituels immuables de l’été. Les nouveautés. Le temps qui passe. La nature de la machine à bonheur. Les ombres qui menacent. Les cadeaux de la nature. Les changements irréversibles. L’imagination débordante qui invente mille histoires dans une banale petite ville. La vieillesse. Le temps qui fait son œuvre et emporte des époques entières. Les générations qui se succèdent. L’été qui s’achève. Les souvenirs de chaque journée contenus dans les bouteilles de vin de pissenlit.

Merci Ray Douglas Bradbury pour ce voyage savoureux. Merci Tiffany McDaniel pour ce conseil de lecture.

L’auteur et son œuvre

Ray Bradbury est né le 22 août 1920 à Waukegan (Illinois) et mort le 5 juin 2012 à Los Angeles. Il a écrit des œuvres dans différents genres mais est entré dans la postérité comme un des auteurs d’anticipation les plus célèbres. Ses livres les plus connus ou à connaître sont Fahrenheit 451, Chroniques martiennes, L’homme illustré, La foire des ténèbres, Le vin de l’été, À l’ouest d’octobre, Les pommes d’or du soleil, Le pays d’octobre.

Mon Ray Bradbury ++

J’ai lu de nombreux livres écrits par Ray Bradbury, dont les plus connus. Je les détaillerai peut-être à l’occasion.

À découvrir aussi (clic sur le titre pour en savoir davantage)

D’autres lectures
Richard Matheson – Le jeune homme, la mort et le temps
Cécile Candiago – D’où je viens

Mes écrits
Ainsi a-t-il été
Mieux vaut très tard que jamais
39 hommes en galère
l’R de rien
J’ai couché
Un instant d’égarement

Me contacter
Me suivreInstagram Claude Griesmar

Facebook Claude Griesmar

Partager

Sabine Ledoux – Moi, Christiane P.

(Roman / 2022)

Couverture du roman Moi, Christiane P. de Sabine Ledoux

Le jeune Alois n’imaginait pas, le jour de son 6ème anniversaire dans sa Bavière natale, qu’après le conflit de 1790 qui allait démarrer quelques semaines plus tard et les deux guerres mondiales qui allaient détruire des millions de vies ensuite, son nom continuerait à inspirer des terreurs ancestrales au 21e siècle. La peur qu’une main toute-puissante éteigne la lumière pour de bon.

Aujourd’hui. Sabine Ledoux nous invite à suivre le parcours de Minnie, l’héroïne de Moi, Christiane P. (jolie référence à une autre Christiane, perdue dans une autre tranche d’âge sensible). Les lumières dans la tête de Minnie vacillent, fragilisées par l’implacable maladie. Elles sont de plus en plus aux abonnées absentes.

Le génie de Sabine Ledoux réside dans le choix de la narratrice de cette histoire poignante : Minnie elle-même. Le lecteur suit ce qui se passe dans sa tête à la compréhension intermittente, déclinante, qui s’accroche comme elle peut à un quotidien qui lui échappe.

Le talent de Sabine Ledoux réside dans une écriture fluide et précise, dans un savant mélange d’humour et de drame, dans une immersion totale et réussie dans les pensées de la malade.

Le vécu de Sabine Ledoux permet à l’histoire d’être d’une justesse absolue, à la fois dans le déclin progressif des capacités cognitives de Minnie et, tout aussi important, dans les réactions induites. Le comportement des voisins. Les tentatives de la famille de trouver les meilleures solutions. La prise en charge par des maisons plus ou moins spécialisées. Le cruel manque de moyens de ces maisons pour faire face au nombre de cas. Les aberrations des décisionnaires budgétaires loin des réalités du terrain. La défaillance de notre système de santé. La précieuse expérience de Sabine Ledoux met ces dysfonctionnements en lumière, sans jugements intempestifs.

Le lecteur ne peut qu’imaginer le sort des malades qui n’ont pas de famille proche pour défendre leurs droits et leur dignité.

Minnie, c’est peut-être toi, moi, vous. Dans 5, 20, 50 ans.

Un roman témoignage à lire absolument.

Recommandé chaudement d’outre-tombe par Alois Alzheimer lui-même.

L’auteure et son œuvre

Sabine Ledoux a été animatrice en EHPAD avant de se lancer dans l’écriture. Moi, Christiane P. est son troisième livre, après le roman court Je vous tuerai et le conte philosophique Les mémoires d’un chêne. En 2024, elle publie Petite chronique ferroviaire.

Mon Sabine Ledoux ++

Je n’ai pas lu les autres livres de cette auteure pour le moment.

À découvrir aussi (clic sur le titre pour en savoir davantage)

D’autres lectures
Tracy Chevalier – La jeune fille à la perle
Jean Hegland – Dans la forêt

Mes écrits
Ainsi a-t-il été
Mieux vaut très tard que jamais
39 hommes en galère
l’R de rien
J’ai couché
Un instant d’égarement

Me contacter
Me suivreInstagram Claude Griesmar

Facebook Claude Griesmar

Partager