MON RECUEIL DE NOUVELLES « 39 HOMMES EN GALÈRE » EST DISPONIBLE !

Et de trois ! La Collection du Chat Noir ajoute un troisième tome à son catalogue.

Après le un et le deux, voici le trois.
Après le vert et le rouge, voici le violet.
Après Ainsi a-t-il été et Mieux vaut très tard que jamais, voici 39 hommes en galère.
Après les aventures mouvementées des Flanagan et de Tom Doe dans l’Amérique du 19e siècle, celles plus calmes de Joseph à Strasbourg à la fin du 20e, voici une ribambelle d’histoires courtes à Balançon ou ailleurs.

Une fois de plus, je change de registre. Après les romans, voici les nouvelles !

Un autre exercice, une autre dimension, d’autres contraintes, mais un même plaisir d’écriture.

« 39 hommes en galère » regroupe des nouvelles écrites durant ces vingt dernières années, sur une thématique commune : des hommes en galère (oui, tout était dans le titre ! ).

Des galères en tous genres touchent n’importe qui à n’importe quel âge. À Balançon ou ailleurs. Parfois elles prêtent à sourire, parfois elles émeuvent.

Nous avons tous connu des galères. J’espère que celles de « 39 hommes en galère » vous surprendront et que vous prendrez autant de plaisir à les lire que j’ai eu à les écrire et que j’ai aujourd’hui à les partager avec vous.

Pour davantage de détails, cliquez sur la couverture.

Couverture de 39 hommes en galère, de Claude Griesmar

Merci pour votre soutien, votre confiance, vos messages d’encouragement.

Bonne lecture à ceux qui butineront dans ce recueil.

Si vous appréciez « 39 hommes en galère », « Mieux vaut très tard que jamais », « Ainsi-a-t-il été », mon site ou les quatre, faites-le savoir autour de vous à d’autres amateurs de littérature. Vous êtes ma meilleure carte de visite !

N’hésitez pas à indiquer vos nouvelles préférées sur la page des 39 hommes en galère ou sur Amazon, à partir de votre commande ou d’ici.

MON DEUXIÈME ROMAN « MIEUX VAUT TRÈS TARD QUE JAMAIS » EST DISPONIBLE !

La richesse, c’est la diversité. À tous niveaux. Et donc aussi dans les domaines artistiques comme la musique, la lecture et l’écriture.

C’est pour cette raison que je vous propose des fictions de genres variés dans mes lectures favorites.

C’est pour cette raison également que j’aime explorer des univers différents les uns des autres dans mes écrits.

C’est pour cette raison enfin que, malgré vos témoignages enthousiastes à propos de mon premier roman, je ne vous offrirai pas un « Ainsi a-t-il été 2 – Le retour de la vengeance masquée ».

« Mieux vaut très tard que jamais » est très éloigné de « Ainsi a-t-il été ». Il s’agit de l’histoire d’un vieux monsieur, à Strasbourg, en 1997. Elle me touche beaucoup. J’espère que vous l’apprécierez.

Ces phrases sur un écran reflètent très mal le bonheur, l’émotion et même l’euphorie qui me traversent maintenant, alors que je m’apprête à partager les aventures de Joseph Malzer avec vous. Sachez que je suis heureux de vivre ce moment privilégié. Je l’attendais depuis longtemps.

Avant de conclure, je tiens à remercier tous ceux qui m’ont apporté leur aide précieuse dans l’élaboration de ce deuxième roman. L’occasion pour moi de me prendre l’espace d’un instant pour Henri Hornung et de vous asséner un proverbe qui va bien : « Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ».

Un grand merci aussi à vous tous, chers lecteurs, qui avez soutenu et apprécié « Ainsi a-t-il été ». Vos retours font chaud au cœur et sont autant d’encouragements pour moi de poursuivre la Collection du Chat Noir.

Pour les détails de « Mieux vaut très tard que jamais », cliquez sur sa couverture :

Couverture du roman Mieux vaut très tard que jamais de Claude Griesmar

Bonne lecture à ceux qui se lanceront dans cette expérience !

Si vous appréciez « Mieux vaut très tard que jamais », « Ainsi-a-t-il été », mon site ou les trois, n’hésitez pas à le faire savoir autour de vous à d’autres amateurs de littérature. Vous êtes ma meilleure carte de visite !

Ainsi a-t-il été depuis trois mois

Trois mois déjà ! Mon premier roman, Ainsi a-t-il été, a vu officiellement le jour mi-mars. Un lancement sur la pointe des pieds, dans les conditions difficiles d’une situation sanitaire planétaire plus que préoccupante. Et pourtant ! Et pourtant, vous avez été nombreux à répondre présent, à avoir pris connaissance des aventures d’Anna, de Tom et des autres. Et, j’en suis particulièrement heureux, à les avoir appréciées. Avec souvent beaucoup d’émotion à la clé.

Un grand merci à vous tous pour votre confiance, votre soutien, vos encouragements et vos retours très positifs !

Comme vous l’avez compris, je ne dispose ni des moyens de promotion, ni des canaux de distribution des éditeurs traditionnels.

Je communique avec mes propres moyens, pour tenter de donner un maximum de visibilité à « Ainsi a-t-il été ». Et je compte aussi sur vous, mon premier cercle de lecteurs, pour faire savoir que ce roman existe. Si comme moi, vous appréciez l’histoire des Flanagan et de Tom Doe, si comme moi, vous estimez que « Ainsi a-t-il été » mérite d’être connu, n’hésitez pas à en parler autour de vous, à vos proches, à vos collègues, à vos connaissances, à partager ce site, ma page Facebook et ma vidéo sur les réseaux sociaux, à commenter sur Amazon. Le bouche à oreille peut être d’une grande efficacité. Merci d’avance pour votre aide précieuse.

Et pour ceux qui n’ont pas encore lu « Ainsi a-t-il été », n’hésitez pas à franchir le pas. Si vous avez accosté sur mon îlot littéraire, vous avez toutes les chances d’être conquis par ce roman. Tentez l’aventure à votre tour !

Mon premier roman, « Ainsi a-t-il été », est enfin disponible !

. . .  en format papier et en format numérique !

Partage en direct d’un grand moment de bonheur

Un vieux rêve se réalise. Je tiens mon roman dans mes mains. Je le feuillette. Je le couve d’un regard attendri. Je le hume. J’en frissonne.

Je suis heureux. Tout simplement. Totalement. Comme un gamin qui vient de déballer un jouet ardemment espéré.

Le bonheur revêt parfois des habits ordinaires. Un livre.

Merci à ceux qui m’ont aidé dans cette entreprise.

Anna, Tom et les autres naissent aux yeux du monde. Je leur souhaite de partager leurs aventures avec des lecteurs de tous horizons. De faire de belles rencontres. De vous toucher. De vous divertir. De vous enrichir. De vous émouvoir autant qu’ils m’ont ému.

Pour les détails du livre, cliquez sur sa couverture :

Couverture du roman Ainsi a-t-il été de Claude Griesmar

Bonne lecture à ceux qui se lanceront dans cette expérience !

Enfin !

… ou explications détaillées de ce titre potentiellement pompeux !

Combien de fois n’ai-je entendu cette publicité dans les médias ? L’album de Marcel Chinchon ou d’Aurora Lovinston est enfin disponible ! Un slogan qui m’a toujours interpellé. Parce que, en vérité, je n’attendais pas spécialement les dernières œuvres musicales de ces artistes. En général pas du tout, pour être complètement honnête. Surtout lorsque je ne connaissais pas les artistes en question.

Depuis quelques jours, cette phrase choc a pris une toute nouvelle dimension dans mon esprit. Je l’avais peut-être toujours mal interprétée.

C’est l’ajout du mot « enfin » qui apporte une forme d’adrénaline à une phrase au départ simplement factuelle. Mon premier roman est disponible. Mon premier roman est enfin disponible. « Enfin » fait toute la différence.

Enfin. Le Larousse en ligne liste quatre définitions pour ce mot. Dans mon interprétation initiale et dans ma nouvelle vision de la chose, c’est la troisième définition qui s’applique : « Indique qu’un événement se produit, après avoir été attendu longtemps et avec impatience ».

La subtilité de compréhension ne réside pas dans le sens du mot « enfin », mais au niveau de son destinataire.

J’ai toujours naïvement imaginé que « enfin » s’adressait à la cible commerciale, aux clients potentiels. Que les maisons de disques tentaient d’imprimer sournoisement dans l’esprit des consommateurs que ceux-ci surveillaient depuis des lustres les bacs ou leurs sites de ventes en ligne préférés, impatients d’y trouver le nouvel album de la star louée. Que le « enfin » ne représentait ainsi qu’une incitation supplémentaire à la consommation. Je n’avais peut-être pas tort.

Je donne toutefois une signification différente à ce « enfin » aujourd’hui. Du moins pour celui de mon titre, celui concernant mon roman. J’ai les pieds sur terre. Je sais bien que vous n’étiez pas nombreux à attendre « Ainsi a-t-il été ».

Ce « enfin » me concerne, moi. Parce que je peux vous assurer que je l’attendais, ce moment. Mon premier roman est enfin disponible ! Enfin. Après tant de travail. Tant de temps. Tant d’efforts déployés. Songez à un de vos propres projets de très longue haleine qui a finalement abouti et vous comprendrez la teneur et la force émotionnelle de ce « enfin ».

Si vous appréciez « Ainsi-a-t-il été », mon site ou les deux, n’hésitez pas à le faire savoir autour de vous à d’autres amateurs de littérature. Vous êtes ma meilleure carte de visite !